La méthodologie de la dissertation littéraire |
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1. Définition : c’est une réflexion personnelle sur un sujet donné. Le candidat doit démontrer sa capacité d’organiser clairement ses idées et d’argumenter sa réflexion en analysant correctement des exemples précis. Plus il connaîtra des œuvres, plus ses références, ses citations seront variées.
2. Méthodologie
► L’introduction : elle remplit 3 fonctions :
Amener le sujet : c’est l’entrée en matière qui permet de situer le sujet dans un cadre approprié
Poser le sujet : en suivant la logique de l’entrée en matière, citer le sujet (si la dissertation porte sur une longue citation, reporter l’essentiel). Poser également la problématique du sujet qui est une question ou une série de questions dont la ou les réponses permettent d’éclairer les différents aspects du même problème. (Poser une (des) question(s) à laquelle la dissertation va tenter de répondre)
Annoncer le plan : indiquer la chronologie de son raisonnement en adoptant un type de plan précis (analytique, dialectique, thématique etc.).
Evitez les tournures « dans la première partie, la thèse de ma dissertation, je vais parler de …. »
► Le développement :
Il sera élaboré en fonction du plan annoncé dans l’introduction :
Le plan dialectique (thèse/antithèse/synthèse) s’impose quand on demande de démontrer ou réfuter une idée : « dans quelle mesure peut-on considérer que..., pensez-vous que..., êtes vous d’accord avec... »
Le plan analytique convient quand il s’agit d’expliquer une notion ou d’analyser un phénomène : « analysez les causes, les effets, les objectifs ... analysez ou expliquez tel phénomène, telle évolution, telle transformation... ».
Le plan thématique convient lorsqu’une notion ou un jugement doit être visité dans divers domaines qui sont des sous-thèmes où la notion trouvera une justification. Dans tous les cas, il faudra bâtir une argumentation solide basé sur un cheminement logique respectant le circuit argumentatif :
- Enoncer au début de chaque grande partie l’idée directrice
- La soutenir par des arguments développés (qui justifient le raisonnement, donnent les raisons, le pourquoi ?)
- Illustrer les arguments par des exemples concrets tirés d’œuvres littéraires, par des citations (illustrent les arguments, ce sont en quelque sorte des preuves concrètes)
- Articulez les différentes phrases et les paragraphes par l’emploi d’articulations logiques
- A la fin de chaque partie, rédiger une conclusion partielle, puis une transition pour aborder la partie suivante
- Eviter une trop grande disproportion entre les grandes parties du développement
► La conclusion : elle remplit 3 fonctions
- faire la synthèse du développement
- répondre au problème soulevé dans l’introduction
- élargir le débat en le prolongeant éventuellement
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La société nouvelle (2006) |
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Corrigé |
Dans les Mémoires d’outre-tombe dont la publication a commencé en février 1848, Chateaubriand exprimait cette inquiétude :
« Quelle sera la société nouvelle ? Vraisemblablement, l’espèce humaine s’agrandira ; mais il est à craindre que l’homme ne diminue, que quelques facultés éminentes du génie ne se perdent, que l’imagination, la poésie, les arts, ne meurent dans les trous d’une société ruche où chaque individu ne sera plus qu’une abeille, une roue dans une machine, un atome dans la matière organisée ».
Dans quelle mesure la civilisation de masse actuelle permet-elle de vérifier cette prédiction ?
Justifiez vos craintes ou vos espoirs pour l’avenir sous la forme d’un développement argumenté.
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L’écrivain, l’artiste (2003) |
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Corrigé |
« Un grand écrivain, un grand artiste est essentiellement anticonformiste. Il navigue à contre - courant »
A l’aide d’exemple précis, vous expliquerez et discuterez ce propos d’André Gide.
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L’oeuvre littéraire(1996) |
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Corrigé |
Etudier une œuvre littéraire n’est « qu’une tentative de déchiffrement assez minutieux peut-être, mais sans plus ».
Expliquez et discutez cette réflexion en vous fondant sur des exemples précis.
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La Poésie (2000) |
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Corrigé |
« La poésie, c’est beaucoup plus qu’une forme littéraire, c’est la traduction anoblie de nos émotions, de nos rêves, de nos peines, de nos désirs.
A travers le langage soudain magnifié, nous atteignons à la source de ce qui nous fait agir, penser et croire ».
Commentez et discutez cette réflexion de Jeanne Bourin (Les plus belles pages de la poésie française) en vous appuyant de façon précise sur des œuvres que vous connaissez.
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Poésie négro-africaine(1998) |
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Corrigé |
Parlant de la poésie noire, dans sa célèbre préface Orphée Noir, Jean Paul SARTRE écrivait : « Cette poésie qui paraît d’abord raciale est finalement un chant de tous et pour tous ».
En vous appuyant sur les textes poétiques des écrivains noirs que vous connaissez, expliquez et au besoin discutez cette assertion.
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Théatre africain (1992) |
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Corrigé |
Faisant la théorie du théâtre africain et en dessinant les tendances actuelles Bakary TRAORE écrit dans « Présence Africaine », N° 75, 1970 :
« Le théâtre africain moderne doit chercher dans les conditions où il se trouve sa propre création artistique... Tout grand théâtre est politique même quand il refuse la politique... Le théâtre africain doit correspondre à une nouvelle ère, celle des responsabilités. Le théâtre, c’est la vie qui s’analyse elle-même. L’Afrique éprouve non seulement le besoin de vivre mais de se regarder. Le théâtre fait office de miroir. Il facilite une prise de conscience. Cette forme d’art atteint le grand public, le met en contact direct, le frappe et permettra aux peuples de couleur de prendre conscience de leurs problèmes »
Commentez cette déclaration en vous appuyant sur des ouvrages précis appartenant au théâtre africain contemporain.
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Le roman et le théâtre (2005) |
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Corrigé |
En vous appuyant sur des œuvres littéraires que vous connaissez, commentez ce jugement de Pierre -Aimé Touchard :
« Le roman et le théâtre, en nous présentant les personnages assez voisins de nous pour que nous les comprenions, assez loin de nous pour que nous n’ayons pas peur en les condamnant, de nous condamner nous-mêmes, nous rendent notre objectivité de spectateurs, nous rendent notre liberté ».
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LA LEÇON DE L’ECRIVAIN AFRICAIN (2000) |
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Corrigé |
Mon intention ici n’est pas de revenir à la problématique devenue classique de la revalorisation des langues africaines conçue et perçue comme l’unique condition de notre libération réelle. Cette problématique se justifie bien entendu dans la conjoncture actuelle où l’Afrique semble s’engager résolument clans la recherche des voies et moyens pour assurer sa survie dans ce monde où la tendance dominante est à l’uniformisation et au nivellement, c’est-à-dire au mimétisme à partir des modèles culturels euro-américains.
Cependant je me demande si la problématique des langues africaines telle qu’elle est posée aujourd’hui n’entraîne pas l’occultation d’une réalité beaucoup plus complexe qu’on ne pense et qui comporte une part de refus, sans doute inconscient, de la part des élites africaines, de couper le cordon ombilical qui les relie à l’Occident, en déployant un discours sécurisant et pseudo critique à propos de ces langues. Car bien souvent la revendication de l’indépendance linguistique exprimée par les élites africaines ne va guère au-delà du terrain académique pour se transmuer en une force agissante transformatrice, des mentalités. Pour ma part dans le contexte socio-politique et économique actuel, tout en continuant de réfléchir sur les conditions et modalités de faire jouer aux langues africaines leur véritable rôle dans les secteurs de la vie moderne, le plus urgent serait de déplacer le débat ou plutôt de le situer ailleurs, c’est-à-dire au niveau du langage en tant que système symbolique qui permet la nomination, l’appropriation et la représentation du monde. C’est à ce niveau, et à ce niveau seulement, que pourraient se traduire quelle que soit la langue utilisée, notre rapport à une spatialité et une temporalité données qui sont les nôtres et que nous assumerions, ou alors notre degré d’aliénation dans la mesure où apparaîtrait une quelconque rupture avec notre espace-temps originel.
La réponse à cette question revient certes aux élites africaines, mais singulièrement aux dirigeants politiques. Car comment libérer notre discours de normes occidentales érigées en principes absolus et universels ? Comment amener ce discours à signifier, en leur totalité et en leur diversité, notre condition historique et notre environnement naturel et mythique, alors que les appareils idéologiques (enseignement, mass média, structures administratives et institutions culturelles, etc.) qui le sécrètent et le portent, et dont nous assurons la permanence sur le continent africain, continuent de perpétuer -parce que hérités de la colonisation - l’emprise de l’Occident sur nous ?
C’est dans ce contexte précis hérissé d’interrogations que j’entends - pour conclure cette brève réflexion - situer le rapport de l’écrivain africain des vingt dernières années à la langue de création, en l’occurrence le français. Tout conflit au plan linguistique et partant des valeurs se trouve chez lui comme définitivement résorbé. En effet se refusant à toute vision « néo-humboldtienne » de la langue, et considérant le français dans son aspect instrumental, l’écrivain africain le prend à bras-le-corps pour non seulement l’immerger dans les profondeurs abyssales de sa culture mais aussi l’amener à rendre avec le maximum d’intensité les expressions, les rythmes, les structures, les images, les odeurs de son paysage originel. Les recherches stylistiques intégrant le matériau de l’Oralité en vue d’un grand approfondissement du rapport de l’écrivain au réel, et le constant désir d’affirmer le lieu d’où il parle, marquent profondément en Afrique le paysage poétique. Le travail d’appropriation, dans les œuvres de Yambo Ouologuem, d’Ahmadou Kourouma, de Sony Labou Tansi, de Tchicaya U Tam’Si, d’Henri Lopes ou de Modibo Sounkalo Keïta pour ne citer que ceux-là, montre à l’évidence que la langue- quelle qu’elle soit - n’est pas seulement ce par quoi s’organise et s’anime le monde mais encore- lorsqu’elle est pleinement assumée- le lieu d’enracinement, de réconciliation de l’homme avec lui-même, et d’affirmation de toute culture. Telle est la grande leçon que donne l’écrivain africain - et qu’il nous faut retenir- en faisant du français, langue de l’Ancien Maître, le lieu d’assomption de sa propre identité.
Mukala Kadima NZUJI - Revue du Salon du Livre. Paris (Mars 1989)
1) - Vous résumerez ce texte au quart de la longueur.
2) - Commentez et discutez : « Que la langue quelle qu’elle soit n’est pas seulement ce par quoi s’organise et s’anime le monde mais encore lorsqu’elle est pleinement assumée- le lieu d’enracinement, de réconciliation de l’homme avec lui-même, et d’affirmation de toute culture. »
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Les enfants de la publicité. (2005) |
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Corrigé |
Les enfants de la publicité.
Que peuvent les parents, les professeurs ou les écrivains face à Publicis ou Havas ? Que peuvent-ils surtout lorsqu’il s’agit d’éduquer des enfants ? Car c’est la jeunesse, dès son âge le plus tendre, qui est devenue la cible favorite des publicitaires : séduire le fils pour gagner la mère. Et les professionnels de la vente en savent beaucoup plus long que les enseignants sur la mentalité enfantine. S’ils ne savent pas comment apprendre l’histoire - mais ils ne s’en soucient pas - ils savent en revanche comment faire passer une idée simple et forte. Sur ce terrain, ils disposent de la compétence et des moyens. L’esprit des enfants leur appartient. Il n’est que de voir l’intérêt passionné des très jeunes téléspectateurs pour les spots de publicité. A coup sûr ces messages, brefs, simples et distrayants sont exactement adaptés au public enfantin.
Nous ne savons plus dans quelle société nous vivons, ou plus exactement quelle société découvrent nos enfants. Si nous croyons toujours que nous transmettons un certain acquis culturel à travers les canaux traditionnels, nous nous trompons. Le jeune esprit qui s’éveille dans le monde occidental est d’abord impressionné par les informations de l’environnement matériel et commercial. Il est instruit par les objets, les vitrines, les affiches, les annonces, les spots publicitaires bien plus que par les discours de ses parents ou des ses maîtres. Or ces supports disent tous la même chose, ils répètent à l’envi que nous vivons dans une société d’abondance, et que l’essentiel est de posséder les objets manufacturés.
La publicité, au sens le plus large, donne à croire que le seul problème est de choisir entre les biens trop nombreux qui sont offerts. Chacun étant supposé avoir les moyens d’acheter, il suffit d’éclairer son choix. Tout naturellement l’enfant en déduit que le bien-être est donné, qu’il existe comme l’air et le soleil et que point n’est besoin de le gagner. L’adolescent vit dans un monde d’assistance technique gratuite. Il attend de la société, ou plutôt de ses parents, qu’ils lui fournissent sa part d’assistance. Toute limitation dans ses désirs sera ressentie comme une brimade. Pourquoi lui refuser ce que tout le monde possède ? Pourquoi lutter pour se procurer ce qui est offert ?
Les adultes s’étonnent que les jeunes prétendent tout à la fois dépendre de leurs parents sur le plan matériel et s’en affranchir sur le plan moral. Mais quoi de plus naturel ? Ils ne font que se conformer au conditionnement culturel reçu dès l’enfance. On imagine aisément la somme de frustrations, de désillusions qu’ils ressentent quand ils découvrent que l’abondance des vitrines n’est qu’une illusion et qu’ils devront travailler constamment pour en jouir. Mais il sera trop tard pour rejeter le système. Habitués à l’assistance technique, appauvris sur le plan personnel, ils devront à leur tour, consacrer toute leur vie à poursuivre ce plaisir des choses qui fuit au fur et à mesure qu’on s’en approche.
Ainsi la publiculture est le ferment nourricier de l’illusion technique. Elle détourne l’homme de ses ressources intérieures pour le fixer sur les ressources matérielles, elle fait admettre la priorité des moyens sur les fins, la prédominance de l’avoir sur l’être.
François de Closets, Le bonheur en plus, Ed. Denoël, l974
1) RESUME : Résumez ce texte de 560 mots au 1/4 de sa longueur. (Avec une tolérance de + ou - 10%).
2) DISCUSSION : « La publiculture détourne l’homme de ses ressources intérieures pour le fixer sur les ressources matérielles, elle fait admettre la priorité des moyens sur les fins, la prédominance de l’avoir sur l’être. »
Commentez et discutez ce point de vue.
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Défendre la nature (1994) |
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Pendant un très long temps, l’idée ne pouvait même venir à l’homme qu’il eût à user de ménagements envers la nature, tant celle-ci lui apparaissait hors de proportion avec les effets qu’il était capable d’exercer sur elle. Mais voilà que, depuis quelques décennies, la situation se retourne... Par suite de la prolifération effrénée des êtres humains, par suite de l’extension des besoins et des appétits qu’entraîne cette surpopulation, par suite de l’énormité des .pouvoirs qui découlent du progrès des sciences et des techniques, l’homme est en passe de devenir, pour la géante nature, un adversaire qui n’est rien moins que négligeable, soit qu’il menace d’en épuiser les ressources, soit qu’il introduise en elle des causes de détérioration et de déséquilibre.
Désormais l’homme s’avise que, dans son propre intérêt, bien entendu il lui faut surveiller, contrôler sa conduite envers la nature, et souvent protéger celle-ci contre lui-même.
Ce souci, ce devoir de sauvegarder la nature, on en parle beaucoup à l’heure présente ; et ce ne sont plus seulement les naturalistes qui en rappellent la nécessité ; il s’impose à l’attention des hygiénistes, des médecins, des sociologues, des économistes, des spécialistes de la prospective, et plus généralement de tous ceux qui s’intéressent à l’avenir de la condition humaine...
Multiples sont, de vrai, les motifs que nous avons de protéger la nature.
Et d’abord, en défendant la nature, l’homme défend l’homme ; il satisfait à l’instinct de conservation de l’espèce. Les innombrables agressions dont il se rend coupable envers le milieu naturel -envers « l’environnement », comme on prend coutume de dire - ne vont pas sans avoir des conséquences funestes pour sa santé et pour l’intégrité de son patrimoine héréditaire.
Protéger la nature, c’est donc, en premier lieu, accomplir une tâche d’hygiène planétaire. Mais il y a, en outre, le point de vue, plus intellectuel mais fort estimable, des biologistes qui, soucieux de la nature pour elle-même, n’admettent pas que tant d’espèces vivantes - irremplaçable objet d’études - s’effacent de la faune et de la flore terrestre, et qu’ainsi, peu à peu, s’appauvrisse, par la faute de l’homme, le somptueux et fascinant Musée que la planète offrait à nos curiosités. Enfin, il y a ceux-là - et ce sont les artistes , les poètes , et donc un peu tout le monde - qui, simples amoureux de la nature, entendent la conserver parce qu’ils y voient un décor vivant, vivifiant, un lien maintenu avec la plénitude originelle, un refuge de paix et de vérité – « l’asile vert cherché par tous les cœurs déçus » - parce que, dans un monde envahi par la pierraille et la ferraille, ils prennent le parti de l’arbre contre le béton, et ne se résignent pas à voir les printemps silencieux...
Certes, défendre la nature sur tous les fronts est chose malaisée, car on se heurte à l’indifférence, à l’ignorance, au scepticisme ; et surtout l’on a contre soi, plus ou moins ouvertement, tous ceux qui donnent aux convoitises personnelles le pas sur l’intérêt commun, tous ceux qui, prêts à compromettre le futur pour un avantage immédiat, ne font pas objection au déluge pourvu qu’ils ne soient plus là pour y assister. Edouard BONNEFOUS, L’Homme ou la nature ? (1974)
1) Résumez le texte en 140 mots ; une tolérance de 10 % en plus ou en moins est admise. Vous préciserez le nombre de mots utilisés,
2) En vous appuyant sur des exemples précis, justifiez cette affirmation d’Edouard BONNEFOUS « Et d’abord, en défendant la nature, l’homme défend l’homme ». S’agit-il vraiment d’une priorité vitale pour l’espèce humaine ? La protection de l’ordre naturel ne peut-elle être compatible avec la notion de progrès ? Faites, éventuellement à partir de votre expérience personnelle, des propositions concrètes pour maintenir l’équilibre entre 1’homme et son environnement
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Chers élèves voici le site dont tout un chacun recherchait !
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